Même si...

Même si…

Même si tu n'es plus là autant que tu le fus.
Même si ta présence me hante.
Même si j'attends tes coups de fil, tes SMS.
Même si j'attends le moindre mail.
Même si je sais qu'ils ne reviendront plus jamais.
Sache que tu me manques.
Même si tu ne m'aimes plus comme tu as su me le dire.
Même si pour toi tous cela nôtre "NOUS" ne fut qu'une erreur.
Même si pour toi mes larmes ne représentent rien.
Même si pour toi l'absence, ton absence ne vaut rien.
Même si pour moi cette absence et dure à vivre.
Même si je me demande où je vais.
Même si des idées volent aux dessus de moi tels mille corbeaux qui croassent en appellent la noirceur du cœur et de l'esprit.
Est bien oui, sache que tu me manques.
Même si tu m’as redonné ma liberté comme tu le crois.
Tu as pris un bout de moi et ainsi, un bout de mon cœur s'en est allé avec toi.
Même si tu veux tourner la page, sache que moi, j'ai du mal à la tourner.
Même si le temps comme l'ont dis fais son œuvre.
Même si quand j'ouvre ma fenêtre je vois la beauté de la vie.
Même si je marche la tête libre.
Même si pour toi mes souffrances intérieures n'égalent pas ta dépression.
Même si je ne suis ni souhaité ni désiré dans ton univers, dans ton cœur.
Sache que malgré tous tu me manque.
et que tu m'as fait apprendre à t'aimer.
Même si tu m'as fait connaitre ton univers, ta personnalité de femme.
Même si les rêves que tu m'as fait entrevoir ne sont plus et ne seront, s'en doute, jamais concrétisés.
Même si les émotions, les frissons, les sentiments que nous avons pu ressentir l'un pour l'autre ne sont plus.
Sache que tu me manques.
Et enfin.
Même si la clepsydre s'égrène vers une fin proche.
Même si le vent balaie le ciel de ces amours-là.
Même si le vent balaie  le ciel de nos quelques tempêtes.
Même si les liens qui nous lient encore se brisent.
Même si le temps emprunt d'un fort-fort lointain se perd, tu à fais, tu fais, est tu fera désormais partie de moi.
Alors enfin, sache que dans mon cœur tu es entrée et que tu n'en ressortiras jamais.

À toi belle C… mon ange…






Photographie trouver sur Google notre ami juillet 2011.
Vidéo : "Toi mon amour" de Marc Lavoine.

Je resterais ici...


















Je resterais ici.
Oui, je resterais là.
Car, planté ici ou là-bas je suis planté et seul le vent alors diffère d'un endroit l'autre.
Alors oui, pourquoi changerais-je cela ?
La vie et voyage et donc avec elle on sort, on part, on va ailleurs.
Si nous savions écouter le chant des martinets, des Fous de-basant, nous saurions ce qui se passe là-bas.
À tire d'ailes, je m'étire j'ouvre les bras grands.
J'en appelle à quelques choses dont je ne connais ni le nom ni la force fracassante oui, je l'implore de me dire qu'elles sont ces voyages-là.
Ainsi, peu m'importe ici la distance physique, palpable, terrestre.
C'est l'idée du "Partir ailleurs" dus au psychologique qui m'intéresse plutôt ici.
Car après avoir vue tous les ailleurs matériels du grand et vaste monde je me dis que rien ne sert de courir tant le cercle un jour se referme malgré nous.
Donc oui, pourquoi partir alors quand faite rester ici nous montre du bout du doigt ce que ses ailleurs là nous invite à voir.
Vies – voix – instants.
Dits moi, le bruissement de nos pas sur des feuilles mortes, sur de la neige, nos pas dans les flaques d'eau diffèrent-elles d'une rue l'autre ?
Rue de Pékin - New York – Berlin…
Une larme sur nos joues diffère-t-elle d'un monde à l'autre ?
Seule l'odeur pourrait nous apporter une concrétisation une sorte de matérialisation de ce fameux sentiment d'ailleurs tant vanté.
Rester - partir dissociable ou non ?
On peut très bien accepter de partir, mais de laisser notre esprit ici.
Notre marque, notre trace, elle reste.
Par contre si on décide de rester, là on peut après très bien laisser une trace là-bas.
Opposition des idées, mais en fait regroupement du sentiment.
Être assis là à même le sol qu'ils soient lourds, gras, poussiéreux ou être assis là sur le plus beau des canapés de cuir, tout dépend de ce qui nous entoure et c'est là où nous croyons l'inconfortabiliter de l'assise qui prouve que nous sommes vivants.
Et qui nous fait dire "Mais si nous nous trompions" ?
Donc, nous avons là comme pris en flagrant délit l'éternelle dualité du fameux "Ici ou là" - "Pôle Nord ou Pôle Sud" - "Yin – Yang"…
Enfin, le plus importent me semblent-il ses de ne pas se renier soit même.
Rester intacte tel que notre évolution nous a fait naitre.
Oui, rester soi-même, que nous soyons ici ou là que nous partions ou que nous restions…

Photographie trouver sur Google notre ami...

Le sable, le vent mes errances...

Nous savons que le vent et porteur de bonnes ou mauvaises nouvelles.
Nous savons que celui-ci et annonciateurs soit de calme plat, soit de tempête incroyable.
Nous savons encore que le vent et tel un balaie qui nettoie le ciel de s'est impuretés.
Vous et-il déjà arrivé d'être là poster sur une falaise le corps adosser à une voiture juste là, la face à ce vent-là.
J'ai, dans des moments comme ceux-là l'impression de n'être plus vraiment moi-même, mais d'être un des nombreux petits faits – éléments qui font l'ensemble de l'univers.
Puis vient le sable.
Le sable qui se fait grain qui bloque les plus complexes de tous les rouages.
Le sable qui sert à édifier.
Le sable liant.
Qui sert pour craie le béton, le ciment, ceux-là qui lient alors des éléments entre eux comme pour durcir des êtres entre eux.
L'élévation ne se fera qu'à la force du grain des volontés des hommes.
Le sable qui sert aussi pour nous plombée un peu le conscient, pour nous imprégné de ce temps qui s'égrène inlassablement avec ou s'en nous.
Tant de clepsydres, temps de sabliers à ton pus voir dans notre humanité devenue invisible à l'œil nue.
J'ai envie dans cette nouvelle mouture de ce blog, de vous écrire des choses qui ont trait à une actualité sociale, matérielle, etc., mais j'ai aussi envie et cela me taraudas depuis quelques moments déjà, de vous faire lire une autre facette de moi, celle qui se veut divagations, errances de l'âme.
J'aime écrire des choses qui ne sont pas moi tout en l'étant à la fois.
Les romanciers, les nouvellistes font naître tant de chose qui ne sont pas eux que moi s'en me mentir ni vous mentir serons toute à la fois moi et autre chose que moi.
J'avoue ici ne plus savoir sur qu'elles pieds danser.
Quoi écrire que je n'aurais déjà développé maintes et maintes fois dans les anciennes moutures de ce blog d'alors ?
Je vais donc faire et être ce que j'ai toujours était.
Un film à pour titrer "Être et avoir était".
Avoir était et une chose lourde de sens pour moi.
Car passé de l'état d'être quelqu'un pour un être que l'on a aimé et passé alors en un claquement de doigts à "Avoir était" je trouve ici le passage "Passagio" difficile à vivre non ?
Alors, le sable que l'on fouler alors se retrouve mêlé de sel la coincée aux bords de nos yeux.
Est-ce dû à une sorte d'endormissements ?
Ou est-ce dû tout simplement à la tristesse qui vous a envahie ?
Ce sable que vous fouliez, que vous adoriez faire glisser d'une main l'autre.
Ce même sable que ce même vent aime faire virevolter vers de nouveaux horizons.
Vous faire part de mes envies, vous dires mes maux, mes angoisses pourquoi ?
À quoi bon ?
Vous savez que l'écriture en soit et sur sorte de thérapie.
Alors, allons-y gaiement (rire).
Avoir soudain une envie imprévisible de courir devant soit sans s'occuper d’où nous allons atterrir.
Courir, à perdre haleine, courir pour rattraper qui, quoi ?
Courir, à perdre haleine pourquoi ?
"Le temps ne se rattrape guère…" (1).
Le vent, le sable, l'eau trois éléments qui peuvent se liée ensemble l'un sèche les deux autres entre eux et s'est deux la crée une émotion, un sentiment.
"Avec le temps, avec le temps tous s’en va..." (2).
Donc être la debout face à l'immensité de l'océan le vent vous ballote, cette pluie fine qui vous imbibe vous permet alors de vous lâcher s'en que quiconque vous pose de question.
"--- Tu pleures ?".
Et vous de répondre.
"--- Non, je ne pleure pas ses le froid cinglant la pluie le vent alliée entre eux qui me font cela".
Et ils sont contant avec ça.
Outre les sujets de sociétés de politique de sociologie (humble) dont j'ai parlé dans mes anciens blogs et bien il et une facette que j'ai envie d'entamée, d'exploité aujourd'hui, c'est celles de mes ressenti intimes, personnelles.
Évidemment, s'en trop me dévoilée comme par impudeur vulgaire et gratuite, sorte d'étalement de mes maux là lâcher en pitances, non, je n'écris pas dans "Gala" ou "Voici" moi.
La dignité, l'émotion voilà les maitres mots qui devront me porter.
Il m'arrive souvent lors de l'écoute de tels ou tels musiciens de tels ou tels morceaux d'être pris d'une émotion certaine et par ce biais là j'ai envie de dire d'écrire mes tristesses, pas mes regrets car ce que je vie mes douleurs actuels je me les suis d'une certaines manières créais moi-même donc, non, pas de regrets juste quelques aigreurs dus aux choses ratées.
S'est même choses ratées devrait je le sais me permettre d'avancé, d'évoluée mentalement c'est vraie.
Mais quand vous vivez quelques chose de fort, du moins quand vous vous en persuadé vous même vous ne pouvez plus alors revivre les choses comme avant.
J'ai déjà longuement dans deux articles récents développé les maux dus à la séparation, à la tristesse de l'un et à la désinvolture de l'autre.
Moi je prends ceci comme d'une petite mort.
Mais quand viendra-t-il le temps de ma résurrection ?
Une façon nouvelle décrire me titille.
Je n'ai plus envie de faire simplement de l'écriture journalistique même si je ne radicaliserais pas totalement ma technique (rire) j'ai envie de vous écrire comme si j'écrivais à quelqu'un.
Comme si j'écrivais une nouvelle.
Comme si je mettais en scènes des personnages fictifs.
Art difficile que de liées articles sociétaux en forme de rédactions journalistique avec l'envie de faire dans la prose.
Ne pas réduire, m'auto réduire comme l'impose les règles officiel de la presses un article à plus ou moins 500 signes (un signe égal une lettre) non.
Naviguée entre prose, poésie et journalisme.
Pardon ?
Vous me demander si cela peut être possible ?
Oui, je le crois et même si cela n'existe pas je le ferais (mal soit), mais je le ferais.
Tant que j'en aurais les capacités intellectuelles.
Je l'avoue ici j'ai des envies lyriques, mes maîtres de lecture, mes rares auteurs / poètes aimées me pousse à cela, hors d'eux, s'en vouloir banalement basiquement les copiés, les singés, non, j'ai envie tout simplement de mis essayer.
Je n'y parviendrais pas ce n'est pas grave, mon but et d'écrire ce que j'ai sur le cœur, sur mes moments de vies divers et variées.
Je vous entends déjà vous gausser en disent en mon endroit (sorte de talon d'Achille).
"Mon dieu de telles prétentions littéraires pour ce monsieur alors qu'il ne sait même pas écrire s'en une once de fautes de tout style.".
Ou encore "Mais mon pauvre amis vous n'avez donc point de honte".
Et moi de vous dires tous sourire :
"--- Heu ?"
"---  NONNNNNNN".
S'occupent-ont des fautes d'orthographes, de syntaxe et autres lorsque sur le sable des amants s'écrivent des "Je t'aime mon bb", "Je t'aime pour la vie" non, et bien alors foutée moi la paix.
J'aimerais parfois que tout comme le sable sur la mer, il puisse se faire dans mon crâne une sorte de ressac qui viendrais tout balayée.
Tempête dans mon crâne.
Oui, vous savez ce qui serait bien, c'est de pouvoir faire comme avec les boules à neige vous savez, les retourner et/ou les secouez et regarder aux travers d'elles la neige retombée sur la tour Effel.
Alors ne rien regretter de ce que l'ont à vécue car en fait les regrets ne servent à rien qu'à s'en rendre malade.
Je ne regrette rien car je sais pertinemment que tous mes maux de couple sont de mon unique faute.
Pourquoi jouer à dire que l'autre à sa part de faute aussi alors que vous le savez très bien elle n'y est pour rien.
Vous fessant parfois même dire que pourquoi ce hasard vous à fait croisée sa route tant vous vous en voulez de l'avoir fait souffrir.
Il y aura désormais deux moi.
Celui d'avant elle et celui d'après elle.
Le second et maintenant en errances.
J'erre je ne sais plus où.
Je ne sais donc plus trop quoi écrire, j'ai du mal à me remettre à écrire des articles types (journalistique) j'ai une sorte d'angoisse de la page blanche, même si celles-ci et informatique.
J'ai peur de ne pouvoir écrire que des choses en rapports avec elle avec cet amour perdu.
C'est incroyable ce sentiment qui et le mien.
Sorte de gouffre ou je me suis enfoncer moi-même.
Je cherche en fait dans cette errance d'écrite plus haut de quoi sortir la tête de l'eau.
Oui, je cherche le truc le déclic qui me fera alors ouvrir ma fenêtre et me dire :
"--- Voilà, la vie reprend s'est droits".
Il faut que j'arrête de parler d'elle à mots couvert.
Il faut que je purge cela.
Ce blog ne doit pas être et devenir une complainte vers un amour perdue.
Oui, "Être et avoir était" voilà qui me résume.
Qui doit résumée mon état d'esprit, mon être en devenir…
Photographie :
(1)   Barbara.
(2)   Léo Ferré.
Aucun lien internet pour cet article.

"Les vents m'ont dit"...

Pourquoi ce titre de blog ?
Titre bizarre dirons certains, mais, moi, je le trouve beau après tous s'est anciens titres celui-ci me plaît beaucoup et colle je trouve très bien aussi au nouveau design.
Alors oui, pourquoi ce titre ?
Déjà par l'emprunt qu'il fait tant du simple titre d'un des livres de feus Xavier Grall (sublime poète déchirée tant dans son corps que dans sa recouvrance bretonne) que par l'emprunt psychologique et imagé que le mot même de "Vent" invoque procure chez chacun de nous.
"Les vents m'ont dit".
Pour moi, même si les images que j'en et et/ou en donne ici semble basic, le vent pour moi et porteur de mille mots, mille maux.
Porteur de mille odeurs qui portent le monde.
Celui-ci et celons l'endroit où l'on se trouve se fait caresse comme il peut se faire bousculade et tape forte sur l'épaule.
Il peut à la fois jouer dans vos cheveux délicatement comme pour vous taquiner il peut aussi (hélas) parfois vous emporter dans un maillage incroyable.
Bref, le vent et porteur de bonnes ou mauvaises nouvelles point barre comme on dit.
Mais les vents sont toujours annonciateurs.
Et comme l'écrit si bien Grall (je ne pouvais ne pas le citer, rire) :
"Les vents me disent que le monde est beau, que rien n'est fixé pour toujours, que la vie est un mouvement musical perpétuel" (1).
Il continue ainsi :
"Ils sont encore les vents de l'esprit"… (2).
(1)   Pages 17 sous le titre "In the wind" extrait du recueil "Les vents m'ont dit" de X. Grall publiée aux éditions calligrammes en 1991.
(2)   Idem petit (1).
Photographie : "Le vent" par Stepahne MangonCRTM.