Nous savons que celui-ci et annonciateurs soit de calme plat, soit de tempête incroyable.
Nous savons encore que le vent et tel un balaie qui nettoie le ciel de s'est impuretés.
Vous et-il déjà arrivé d'être là poster sur une falaise le corps adosser à une voiture juste là, la face à ce vent-là.
J'ai, dans des moments comme ceux-là l'impression de n'être plus vraiment moi-même, mais d'être un des nombreux petits faits – éléments qui font l'ensemble de l'univers.
Puis vient le sable.
Le sable qui se fait grain qui bloque les plus complexes de tous les rouages.
Le sable qui sert à édifier.
Le sable liant.
Qui sert pour craie le béton, le ciment, ceux-là qui lient alors des éléments entre eux comme pour durcir des êtres entre eux.
L'élévation ne se fera qu'à la force du grain des volontés des hommes.
Le sable qui sert aussi pour nous plombée un peu le conscient, pour nous imprégné de ce temps qui s'égrène inlassablement avec ou s'en nous.
Tant de clepsydres, temps de sabliers à ton pus voir dans notre humanité devenue invisible à l'œil nue.
J'ai envie dans cette nouvelle mouture de ce blog, de vous écrire des choses qui ont trait à une actualité sociale, matérielle, etc., mais j'ai aussi envie et cela me taraudas depuis quelques moments déjà, de vous faire lire une autre facette de moi, celle qui se veut divagations, errances de l'âme.
J'aime écrire des choses qui ne sont pas moi tout en l'étant à la fois.
Les romanciers, les nouvellistes font naître tant de chose qui ne sont pas eux que moi s'en me mentir ni vous mentir serons toute à la fois moi et autre chose que moi.
J'avoue ici ne plus savoir sur qu'elles pieds danser.
Quoi écrire que je n'aurais déjà développé maintes et maintes fois dans les anciennes moutures de ce blog d'alors ?
Je vais donc faire et être ce que j'ai toujours était.
Un film à pour titrer "Être et avoir était".
Avoir était et une chose lourde de sens pour moi.
Car passé de l'état d'être quelqu'un pour un être que l'on a aimé et passé alors en un claquement de doigts à "Avoir était" je trouve ici le passage "Passagio" difficile à vivre non ?
Alors, le sable que l'on fouler alors se retrouve mêlé de sel la coincée aux bords de nos yeux.
Est-ce dû à une sorte d'endormissements ?
Ou est-ce dû tout simplement à la tristesse qui vous a envahie ?
Ce sable que vous fouliez, que vous adoriez faire glisser d'une main l'autre.
Ce même sable que ce même vent aime faire virevolter vers de nouveaux horizons.
Vous faire part de mes envies, vous dires mes maux, mes angoisses pourquoi ?
À quoi bon ?
Vous savez que l'écriture en soit et sur sorte de thérapie.
Alors, allons-y gaiement (rire).
Avoir soudain une envie imprévisible de courir devant soit sans s'occuper d’où nous allons atterrir.
Courir, à perdre haleine, courir pour rattraper qui, quoi ?
Courir, à perdre haleine pourquoi ?
"Le temps ne se rattrape guère…" (1).
Le vent, le sable, l'eau trois éléments qui peuvent se liée ensemble l'un sèche les deux autres entre eux et s'est deux la crée une émotion, un sentiment.
"Avec le temps, avec le temps tous s’en va..." (2).
Donc être la debout face à l'immensité de l'océan le vent vous ballote, cette pluie fine qui vous imbibe vous permet alors de vous lâcher s'en que quiconque vous pose de question.
"--- Tu pleures ?".
Et vous de répondre.
"--- Non, je ne pleure pas ses le froid cinglant la pluie le vent alliée entre eux qui me font cela".
Et ils sont contant avec ça.
Outre les sujets de sociétés de politique de sociologie (humble) dont j'ai parlé dans mes anciens blogs et bien il et une facette que j'ai envie d'entamée, d'exploité aujourd'hui, c'est celles de mes ressenti intimes, personnelles.
Évidemment, s'en trop me dévoilée comme par impudeur vulgaire et gratuite, sorte d'étalement de mes maux là lâcher en pitances, non, je n'écris pas dans "Gala" ou "Voici" moi.
La dignité, l'émotion voilà les maitres mots qui devront me porter.
Il m'arrive souvent lors de l'écoute de tels ou tels musiciens de tels ou tels morceaux d'être pris d'une émotion certaine et par ce biais là j'ai envie de dire d'écrire mes tristesses, pas mes regrets car ce que je vie mes douleurs actuels je me les suis d'une certaines manières créais moi-même donc, non, pas de regrets juste quelques aigreurs dus aux choses ratées.
S'est même choses ratées devrait je le sais me permettre d'avancé, d'évoluée mentalement c'est vraie.
Mais quand vous vivez quelques chose de fort, du moins quand vous vous en persuadé vous même vous ne pouvez plus alors revivre les choses comme avant.
J'ai déjà longuement dans deux articles récents développé les maux dus à la séparation, à la tristesse de l'un et à la désinvolture de l'autre.
Moi je prends ceci comme d'une petite mort.
Mais quand viendra-t-il le temps de ma résurrection ?
Une façon nouvelle décrire me titille.
Je n'ai plus envie de faire simplement de l'écriture journalistique même si je ne radicaliserais pas totalement ma technique (rire) j'ai envie de vous écrire comme si j'écrivais à quelqu'un.
Comme si j'écrivais une nouvelle.
Comme si je mettais en scènes des personnages fictifs.
Art difficile que de liées articles sociétaux en forme de rédactions journalistique avec l'envie de faire dans la prose.
Ne pas réduire, m'auto réduire comme l'impose les règles officiel de la presses un article à plus ou moins 500 signes (un signe égal une lettre) non.
Naviguée entre prose, poésie et journalisme.
Pardon ?
Vous me demander si cela peut être possible ?
Oui, je le crois et même si cela n'existe pas je le ferais (mal soit), mais je le ferais.
Tant que j'en aurais les capacités intellectuelles.
Je l'avoue ici j'ai des envies lyriques, mes maîtres de lecture, mes rares auteurs / poètes aimées me pousse à cela, hors d'eux, s'en vouloir banalement basiquement les copiés, les singés, non, j'ai envie tout simplement de mis essayer.
Je n'y parviendrais pas ce n'est pas grave, mon but et d'écrire ce que j'ai sur le cœur, sur mes moments de vies divers et variées.
Je vous entends déjà vous gausser en disent en mon endroit (sorte de talon d'Achille).
"Mon dieu de telles prétentions littéraires pour ce monsieur alors qu'il ne sait même pas écrire s'en une once de fautes de tout style.".
Ou encore "Mais mon pauvre amis vous n'avez donc point de honte".
Et moi de vous dires tous sourire :
"--- Heu ?"
"--- NONNNNNNN".
S'occupent-ont des fautes d'orthographes, de syntaxe et autres lorsque sur le sable des amants s'écrivent des "Je t'aime mon bb", "Je t'aime pour la vie" non, et bien alors foutée moi la paix.
J'aimerais parfois que tout comme le sable sur la mer, il puisse se faire dans mon crâne une sorte de ressac qui viendrais tout balayée.
Tempête dans mon crâne.
Oui, vous savez ce qui serait bien, c'est de pouvoir faire comme avec les boules à neige vous savez, les retourner et/ou les secouez et regarder aux travers d'elles la neige retombée sur la tour Effel.
Alors ne rien regretter de ce que l'ont à vécue car en fait les regrets ne servent à rien qu'à s'en rendre malade.
Je ne regrette rien car je sais pertinemment que tous mes maux de couple sont de mon unique faute.
Pourquoi jouer à dire que l'autre à sa part de faute aussi alors que vous le savez très bien elle n'y est pour rien.
Vous fessant parfois même dire que pourquoi ce hasard vous à fait croisée sa route tant vous vous en voulez de l'avoir fait souffrir.
Il y aura désormais deux moi.
Celui d'avant elle et celui d'après elle.
Le second et maintenant en errances.
J'erre je ne sais plus où.
Je ne sais donc plus trop quoi écrire, j'ai du mal à me remettre à écrire des articles types (journalistique) j'ai une sorte d'angoisse de la page blanche, même si celles-ci et informatique.
J'ai peur de ne pouvoir écrire que des choses en rapports avec elle avec cet amour perdu.
C'est incroyable ce sentiment qui et le mien.
Sorte de gouffre ou je me suis enfoncer moi-même.
Je cherche en fait dans cette errance d'écrite plus haut de quoi sortir la tête de l'eau.
Oui, je cherche le truc le déclic qui me fera alors ouvrir ma fenêtre et me dire :
"--- Voilà, la vie reprend s'est droits".
Il faut que j'arrête de parler d'elle à mots couvert.
Il faut que je purge cela.
Ce blog ne doit pas être et devenir une complainte vers un amour perdue.
Oui, "Être et avoir était" voilà qui me résume.
Qui doit résumée mon état d'esprit, mon être en devenir…
Photographie :
(1) Barbara.
(2) Léo Ferré.
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